Une défaite temporaire n’est pas un échec permanent. Cela signifie seulement que votre plan était mal conçu nous dit Mr Hill. Vous constatez qu’on raconte souvent les succès des personnes qui ont vécu une réussite spectaculaire. Rarement on nous mentionne toutes les fois où ils ont pensé abandonner. La différence entre un lâcheur et un vainqueur se trouve dans le refus pour ce dernier d’abandonner l’espoir qu’il va réussir un jour. C’est votre foi en votre idée qui vous fera gagner. (Suite au www.changementdevie.com)
« C’est jamais fini tant que ce n’est pas fini »! Et si vous n’allez pas jusqu’au bout, vous ne saurez jamais si vous auriez pu réussir. Et que veux dire aller jusqu’au bout? Tout tenter, même ce que vous n’avez pas imaginé encore, tant que vous y croyez. C’est, je crois, ce qui détermine si vous devez arrêter ou poursuivre. La foi en votre désir, en votre idée, en votre projet. Cette idée qui vous allume, qui revient tout le temps, plus fort que vous… celle-là en vaut la peine même si les autres pensent que vous êtes fous. Si Edison avait écouté les autres, nous n’aurions pas d’ampoule électrique. Lincoln ne serait jamais devenu président, et Guy Laliberté ne serait jamais allé sur la lune ni fait fortune avec des « clowns »! Cela prend une idée, un rêve. Puis cela prend de la détermination, du courage et de la persévérance. Et pour finir, il faut, encore une fois, savoir maitriser sa petite voix. Je vous réfère encore à ce livre de Blair Singer « Little voice mastery »que vous pouvez vous procurer sur mon site à l’onglet « librairie ». Ces trucs pour maitriser la petite voix sont simples et efficaces. Mais pour l’instant, je vous offre mon deuxième truc inspiré des enseignements en PNL (Programmation neuro linguistique). Le premier truc vous est offert dans le blog intitulé « Soyez prêt à quitter qui vous êtes… ».
Le langage que vous utilisez peut envoyer des messages bien involontaires à votre inconscient. Il vous faut donc soigner vos expressions afin que vos messages procurent une opportunité positive dans la tête de celui qui le reçoit plutôt qu’une menace.
Évitez de demander pourquoi, demandez Comment!
Imaginez un collègue, votre conjoint ou votre enfant ayant fait une gaffe. (Peser sur « send » et envoyer un courriel personnel compromettant à tous … votre enfant qui échappe son énième verre de lait etc). Votre première réaction sera souvent de dire : pourquoi as-tu fait ça? Et celui ou celle qui a fait l’erreur vous répondra : « Ce n’est pas de ma faute! Je n’ai pas fait exprès, je ne savais pas, ce n’est pas moi, c’est lui…etc! Vous venez de lui donner son passeport pour qu’il découvre la victime en lui!
Donc, en posant la question « pourquoi » vous ne pouvez obtenir de réponse satisfaisante ni constructive. Vous poussez la personne fautive à se défendre, c’est humain.
Par contre, si vous utilisez le comment comme dans « comment est-ce arrivé, vous risquez une réponse beaucoup plus productive qui va vous amener à une solution. L’égo de la personne ne se sentant pas attaquer, vous allez obtenir une meilleure réponse. Puis, sur cette réponse, vous pourrez bâtir ensemble une solution pour éviter que cela se reproduise. Tous les deux allez en ressortir gagnant. Vous, parce que vous ne vous serez pas mis en colère et tout ce qui en découle et la personne fautive n’aura pas perdu confiance en elle ou en vous et aura bien plus appris ainsi qu’avec la méthode des reproches et de l’indignation.
Si vous cherchez le Pourquoi d’un problème, vous allez trouver un coupable. Pas la solution!
Attention à cette situation. Si votre collègue arrive au travail le matin et que vous lui posez la question comment ça va et qu’elle vous répond: « ah ça va pas tellement bien ». Si vous lui demandez pourquoi, vous êtes foutu. Oubliez votre café du matin! Par contre, si vous lui posez la question « comment gros ça ne va pas, elle va d’abord vous regarder comme un hurluberlu mais vous aurez réussi à l’éloigner de la victimite…cela va détourner sa façon d’aborder ce qui se passe pour un instant. Elle risque moins de décharger l’historique de son problème sur vous ce qui va l’empêcher de ruminer son drame ce qui ne l’avance à rien et vous de perdre un temps précieux pour être heureux.. Vous pouvez demander » puis-je faire quelque chose pour que tu retrouves le sourire »… ce n’est pas plus long et c’est peut-être juste ça que la personne avait besoin… une douce attention! Beaucoup plus productif que de se plaindre éternellement. Tout le monde est gagnant non?
Il y a aussi un autre truc linguistique pour éviter d’éveiller « la petite voix » et d’augmenter vos chances d’être « très populaires » où que vous soyez
Évitez d’utiliser le mais…
T Harv Eker, dans ses leçons pour devenir un guerrier nous enseigne le principe suivant : « There’s no reason, there’s just result ». Si vous êtes capable de donner des raisons c’est que vous ne pouvez donner de résultat. Si vous voulez réussir, il faut mettre le focus sur les résultats.
Pour vous aider vous-même à devenir plus productif, en PNL, on tente d’éviter d’utiliser le mais en le remplaçant par le Et.
Ex : « As-tu terminé le travail que je t’avais demandé? » On vous répond oui mais… (ça y est, votre cerveau se met à chauffer, Huston on a un problème, votre petite voix s’allume et s’en donne à cœur joie pour vous inspirer les pires pensées négatives : on vous en veut, on ne vous respecte pas, vous êtes dans les emmerdes, etc) Si c’est vous qui répondez cela, votre petite voix vous dira: ça y est, il va crier, je suis dans les emmerdes, il va penser que…etc
Par contre si vous répondez : Oui, ET … je vais te le rendre aujourd’hui, je veux m’assurer que tout y est…vous venez d’éteindre tous les feux et de neutraliser l’égo. Le mais place une barrière temporaire. Le Et ajoute un bénéfice.
C’est deux trucs simples et efficaces vous permettent d’améliorer votre communication et vous font gagner du temps. Un temps que vous pouvez utiliser intelligemment pour réaliser vos précieux rêves.
Autres articles et trucs sur mon blog au www.changementdevie.com